L’année 2008 aurait été fatale pour les partisans de la démocratie, les militants progressistes et les défenseurs de la liberté d’expression. Car, tour à tour, on a vu partir sans faire de bruit Mohamed Charfi, puis Serges Adda et, enfin, Hassib Ben Ammar. Tous ces gens, chacun à sa manière, chacun à sa façon, ont quitté la scène laissant derrière eux une peine et une consternation. Ils ont préféré rejoindre d’autres compagnons comme Noureddine Ben Khedher, Ahmed Othmani (et j’en oubli certainement)…, eux même ravi de retrouver des Mohamed Ali El Hammi, Farhat Hached et d’autres figures célèbres et anonymes qui ont payé de leur chair leur amour pour ce pays.
Ils sont parti peut être avec le sentiment d’inachevé, ou peut être avec une certaine amertume de ne pas avoir vu leurs rêves et leurs ambitions prendre forme ne serait-ce que partiellement, mais ils sont surement parti avec la satisfaction du devoir accompli.
A eux comme à tous les autres qu’ils trouvent ici, même à titre posthume, le témoignage du respect et de l’estime qui leur sont dus.
Paix sur leurs âmes.
Ils sont parti peut être avec le sentiment d’inachevé, ou peut être avec une certaine amertume de ne pas avoir vu leurs rêves et leurs ambitions prendre forme ne serait-ce que partiellement, mais ils sont surement parti avec la satisfaction du devoir accompli.
A eux comme à tous les autres qu’ils trouvent ici, même à titre posthume, le témoignage du respect et de l’estime qui leur sont dus.
Paix sur leurs âmes.
4 commentaires:
Et nous?
partirons-nous sans rien avoir accomplit ou avoir vu accomplir ?
Merci pour le rappel ; longue vie à toi .
Oui, mais Adda n'est pas Serge
Bonjour takou
Ni roquettes, ni bombardements!!!!!
Qui a raison qui a tort
Qui va gagner
Et c’est toujours les civils qui paient la note, crois tu qu’ils en veulent eux de cet escalade ?
Amitiés
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