La bienséance veut que nous ne disions que du bien de nos morts. La morale aussi. En parlant de morts, ces derniers jours, on vient de perdre une figure politique qui a fait de la discrétion le principal vecteur de sa feuille de route. Je parle, vous l’aurez certainement deviné, de feu Habib Bourguiba Jr. Les journaux, comme la coutume le veut, ont commenté ce départ. Chacun à sa façon bien évidement, bien que tous l’on fait avec une certaine taciturnité et sur un ton presque laconique. Prudence et réserve obligent serait-on enclin de dire avec ces temps où toute référence à un passé proche peut s’avérer une offense à l’instant présent.
Sauf que certains journaux ont cru bon d’insérer dans les biographies qu’ils ont consacrées au défunt et publiées sur leurs colonnes de mentionner un détail dont la pertinence suscite quand même quelques interrogations. Ce fut d’abord le journal « As-Sabah », dans son édition d’hier, qui l’a insinué sournoisement. Puis, ce fut le tour du torchon « Achourouk » de le dire de la manière la plus crue possible. Ces deux publications se sont penchées sur le passé de Bourguiba Jr. mettant en avant le fait qu’il est venu au monde peu avant que le mariage de ses parents ne soit déclaré légalement. Ils laissent entendre ainsi qu’une certaine illégitimité ou une tare entache la dignité de cet homme. Sinon, pourquoi se seraient-ils attardés sur un détail qui ne concerne personne et qui n’est qu’un détail en fin de compte. A moins que l’intention est de faire d’une pierre deux coup : salir la réputation de Bourguiba Jr. (fils illégitime puisque né hors cadre légal) et en même temps celle de son père (coupable de concubinage) enfonçant ainsi un peu plus le clou.
A ceux qui leurs plumes leur a inspiré de pondre une bassesse pareille, je voudrais leur poser la question suivante : Quelle légitimité de plus peut-on donner à son rejeton quand on lui a légué déjà son patronyme personnel et familial ? N’aurait-il pas été mieux d’ignorer la mort de ce monsieur que de persévérer dans cet acharnement aveugle et rancunier de nier toute gratitude à Bourguiba ?
Et on ose dire que le tunisien est fier de sa tunisianité, de sa patrie et de son histoire. Quelle hypocrisie.
A quoi rime tout celà?
2 commentairesPublié par Takkou à 14:02
Ta mére, le ciel et les oiseaux
1 commentairesL’histoire que je voudrais vous raconter s’est passée il y a quelque temps de cela déjà. Ce jour là il faisait Beau. Le soleil brillait. Les oiseaux gazouillaient. Seul quelques voitures venaient de temps en temps rompre furtivement la sérénité et la quiétude dans lesquelles se baignait l’ambiance. Tout d’un coup, du haut de mon bureau qui se trouve au premier étage, j’entends des voies s’élevaient. Je reconnais que la curiosité m’a poussé à m’approcher de la fenêtre pour comprendre de quoi il s’agissait et quelles étaient les raisons de tout ce vacarme. Devant moi se tenait une scène aussi loufoque qu’incongrue. Une 4X4 de la police était stoppé en plein milieu de la route. Ses quartes portières ouvertes. A quelques mètre de là, se tenaient deux policiers en uniforme, un policier en civil tenant son talkie walkie dans la main, un passant curieux et deux collégiens, une fille et un garçon dont l’âge ne devait pas dépasser les 15 ans et dont tout indiquait qu’ils appartenaient à la classe de la haute bourgeoisie locale. D’après ce que j’ai pu comprendre, les policiers avaient appréhendé en flagrant délit les deux jeunes adolescents entrain de s’embrasser dans une ruelle déserte, sous un arbre, se croyant à l’abri des regards indiscrets et surtout des yeux vigilants de nos chers agents de sécurité. La chance de ces deux gamins c’est que l’incident dont ils sont les malheureux protagonistes a eu lieu dans l’un des quartiers résidentiels de la capital où l’on ne trouve que des Ambassades, des résidences appartenant à des ministres ou à de hautes personnalités et quelques Administrations. Autrement, on les aurait embarqués manu militari sans aucune autre forme de procès.
Le policier en civil hurlait, beuglait, mugissait. Il menaçait, gesticulait, mais n’osait pas aller plus loin que la réprimande. Lui voulait à tout prix avoir une pièce d’identité de la fille. Elle, murée dans un silence assourdissant, fixant d’un regard farouche et perçant son « assaillant », se niait à se soumettre aux ordres intempestives du représentant de la loi. La scène dura plus de cinq minutes sans que l’un ou l’autre ne lâche du lest à l’autre. Las, écœuré, je pris la décision de me mêler de la situation. Je me suis approché du policier et je lui ai dit :
- Monsieur l’agent, je crois que cela suffit maintenant. Je crois que vous leur avez inculqué la leçon nécessaire et qu’ils y penseront deux fois plutôt qu’une avant de s’aventurer à refaire la même sottise la prochaine fois.
- Pardon monsieur, vous voulez me faire apprendre comment faire mon job ou quoi ?
- Loin de moi cette idée monsieur l’agent. Mais disons que je peux vous aider à rendre votre job un peu plus pédagogique. Vous venez de foutre l’une des plus belles trouilles à ces deux gamins. Je pense que la punition est suffisante. Vous les avez suffisamment secoués, ils peuvent s’en aller maintenant.
A ce moment, le policier me prend par la main et m’éloigne un peu de la meute. Il me tint à peu prés ce discours :
- Ecoutez monsieur. Je vous jure que je ne suis pas entrain de faire un excès de zèle. Mais il se trouve que si la gamine refuse à obéir à mes ordres c’est mon autorité qui va en pâtir. Si ce n’était que de moi, j’aurais laissé tomber. Mais vous comprenez il y a deux collègues avec moi et la situation est un peu délicate.
- Mais voyons monsieur l’agent, vous savez très bien que votre autorité est et restera intacte. Ce ne sont pas deux gosses quand même qui vont l’ébranlée.
- Bon, faisons comme ça alors. Vous vous demander à la gamine de me donner sa carte d’identité et moi je les pardonne dans la seconde qui suive.
- Entre nous monsieur l’agent qu’est ce que cela va changer ? C’est pour que vous ayez le dernier mot ? Je ne pense pas que vous vous mettiez sur le même pied d’égalité avec la gamine quand même.
Le policier resta pensif quelques instants et puis me dit :
- Vous voyez les choses comme ça ?
- Vous aussi j’en suis sur.
- Bon allez les gamins, rentrez chez vous je ne veux plus vous voir par ici. Et gare à vous la prochaine fois.
Le policier en civil hurlait, beuglait, mugissait. Il menaçait, gesticulait, mais n’osait pas aller plus loin que la réprimande. Lui voulait à tout prix avoir une pièce d’identité de la fille. Elle, murée dans un silence assourdissant, fixant d’un regard farouche et perçant son « assaillant », se niait à se soumettre aux ordres intempestives du représentant de la loi. La scène dura plus de cinq minutes sans que l’un ou l’autre ne lâche du lest à l’autre. Las, écœuré, je pris la décision de me mêler de la situation. Je me suis approché du policier et je lui ai dit :
- Monsieur l’agent, je crois que cela suffit maintenant. Je crois que vous leur avez inculqué la leçon nécessaire et qu’ils y penseront deux fois plutôt qu’une avant de s’aventurer à refaire la même sottise la prochaine fois.
- Pardon monsieur, vous voulez me faire apprendre comment faire mon job ou quoi ?
- Loin de moi cette idée monsieur l’agent. Mais disons que je peux vous aider à rendre votre job un peu plus pédagogique. Vous venez de foutre l’une des plus belles trouilles à ces deux gamins. Je pense que la punition est suffisante. Vous les avez suffisamment secoués, ils peuvent s’en aller maintenant.
A ce moment, le policier me prend par la main et m’éloigne un peu de la meute. Il me tint à peu prés ce discours :
- Ecoutez monsieur. Je vous jure que je ne suis pas entrain de faire un excès de zèle. Mais il se trouve que si la gamine refuse à obéir à mes ordres c’est mon autorité qui va en pâtir. Si ce n’était que de moi, j’aurais laissé tomber. Mais vous comprenez il y a deux collègues avec moi et la situation est un peu délicate.
- Mais voyons monsieur l’agent, vous savez très bien que votre autorité est et restera intacte. Ce ne sont pas deux gosses quand même qui vont l’ébranlée.
- Bon, faisons comme ça alors. Vous vous demander à la gamine de me donner sa carte d’identité et moi je les pardonne dans la seconde qui suive.
- Entre nous monsieur l’agent qu’est ce que cela va changer ? C’est pour que vous ayez le dernier mot ? Je ne pense pas que vous vous mettiez sur le même pied d’égalité avec la gamine quand même.
Le policier resta pensif quelques instants et puis me dit :
- Vous voyez les choses comme ça ?
- Vous aussi j’en suis sur.
- Bon allez les gamins, rentrez chez vous je ne veux plus vous voir par ici. Et gare à vous la prochaine fois.
Publié par Takkou à 11:13
Ne s’improvise pas masochiste qui le veut
3 commentairesLes suisses ne veulent plus de minarets chez eux. Et alors? Ou est le problème? Nulle part, si on part du principe que chaque peuple est souverain et libre de ses choix. Sauf que pour l’exprimer, les suisses ont senti un besoin pressant de le dire haut et fort. Ils l’ont affirmé au monde entier de la manière la plus claire et explicite possible.
Cette volonté aurait pu passer inaperçue si elle n’était pas tombée dans le domaine politique. Et quand on se meut dans les marécages de la politique on doit savoir à quoi s’attendre par la suite. Pour exprimer ce refus les suisse ont eu besoin de le faire à travers d’un referendum, rendant ainsi l’affaire une question d’Etat. Du coup, c’est un tout un tapage médiatique que la question a soulevé et continue à le faire. Et ce aussi bien à l’intérieur comme à l’extérieur des frontières du pays de la vache qui rit.
On disait donc que les suisses sont souverains pour prendre toutes les décisions qu’ils estiment bonnes pour leur pays (tout comme la Suisse de l’Afrique d’ailleurs). Sauf que voila, en essayant de justifier la décision d’interdiction de minarets, une bonne majorité des suisses a cru bon de signaler qu’entre autres considérations qui les ont incité à voter contre la présence de formes phalloïdes chez eux c’est l’absence de réciprocité dans les pays musulmans.
Cet argument m’a interpelé par son incongruité. Il trahit une ignorance grotesque que les suisses, en particulier, et les occidentaux, en générale, ont à propos des pays musulmans. Sans entrer dans des détails que je ne saurais prouver par des exemples concrets, je voudrais signaler que, jusqu’à preuve du contraire, les pays musulmans sont dans leur majorité écrasante des pays exportateurs et non importateur d’émigration. Si dans le monde arabe et musulman le besoin de construire des églises ne s’est pas fait sentir ce n’est pas (seulement) à cause d’une réticence ou une négation de construire des temples autres que musulmans, mais tout simplement parce que ces pays n’ont pas encore connu un exode de population de confession chrétienne à l’image de ce qui se passe dans les pays européens qui eux reçoivent quotidiennement des milliers de personne de confession musulmane et autres et qui expriment le besoin d’ériger des temples ou ils peuvent se recueillir et exercer leur foi.
Par ailleurs, cette affaire, en l’élevant au statut de referendum, et donc engageant la volonté d’une nation entière, risque de se convertir en un accident qui sentira le souffre incessamment. La Suisse, on le sait déjà, n’est pas à sa première bourde politique. Récemment, le pays helvétique a du se faire humilier au point de baisser le pantalon pour remédier à une affaire de justice anodine qui aurait du rester dans le giron des tribunaux. L’affaire en question, qui est devenu un fait d’Etat uniquement à cause de l’implication de l’un des fils de Kadhafi, avait toute les chances de se dénouer sans causer des vagues. Mais c’était sans compter sur la volonté de certains cercles de politiser l’affaire. Le résultat, on le sait bien. Au lieu de se concentrer sur la légitimité de la position de la justice helvétique, c’est un bras de fer contre Kadhafi que la Suisse a préféré s’offrir. Résultat : Berne a du se résigner à présenter des excuses officielles.
Cette fois-ci avec l’affaire des minarets, la Suisse n’aura pas à faire uniquement à un bouffon farfelu de la trempe de Kadhafi. Les suisses, consciemment ou non, ont opté pour se mettre sur le dos deux forces aussi redoutables l’une que l’autre : des populations musulmanes, excessivement stigmatisées et excédées, et des magnats et des mandataires de fonds souverains qui, pour enseigner aux populistes suisses qu’il existe plus populistes qu’eux, vont se faire concurrence pour savoir qui infligera l’humiliation la plus avilissante à ces écervelés d’helvètes.
Le tragique dans tout cela c’est que ceux qui vont payer les pots cassés ça sera les membres de la communauté musulmane en terre suisse qui, paradoxalement, se croyait en terre neutre.
Cette volonté aurait pu passer inaperçue si elle n’était pas tombée dans le domaine politique. Et quand on se meut dans les marécages de la politique on doit savoir à quoi s’attendre par la suite. Pour exprimer ce refus les suisse ont eu besoin de le faire à travers d’un referendum, rendant ainsi l’affaire une question d’Etat. Du coup, c’est un tout un tapage médiatique que la question a soulevé et continue à le faire. Et ce aussi bien à l’intérieur comme à l’extérieur des frontières du pays de la vache qui rit.
On disait donc que les suisses sont souverains pour prendre toutes les décisions qu’ils estiment bonnes pour leur pays (tout comme la Suisse de l’Afrique d’ailleurs). Sauf que voila, en essayant de justifier la décision d’interdiction de minarets, une bonne majorité des suisses a cru bon de signaler qu’entre autres considérations qui les ont incité à voter contre la présence de formes phalloïdes chez eux c’est l’absence de réciprocité dans les pays musulmans.
Cet argument m’a interpelé par son incongruité. Il trahit une ignorance grotesque que les suisses, en particulier, et les occidentaux, en générale, ont à propos des pays musulmans. Sans entrer dans des détails que je ne saurais prouver par des exemples concrets, je voudrais signaler que, jusqu’à preuve du contraire, les pays musulmans sont dans leur majorité écrasante des pays exportateurs et non importateur d’émigration. Si dans le monde arabe et musulman le besoin de construire des églises ne s’est pas fait sentir ce n’est pas (seulement) à cause d’une réticence ou une négation de construire des temples autres que musulmans, mais tout simplement parce que ces pays n’ont pas encore connu un exode de population de confession chrétienne à l’image de ce qui se passe dans les pays européens qui eux reçoivent quotidiennement des milliers de personne de confession musulmane et autres et qui expriment le besoin d’ériger des temples ou ils peuvent se recueillir et exercer leur foi.
Par ailleurs, cette affaire, en l’élevant au statut de referendum, et donc engageant la volonté d’une nation entière, risque de se convertir en un accident qui sentira le souffre incessamment. La Suisse, on le sait déjà, n’est pas à sa première bourde politique. Récemment, le pays helvétique a du se faire humilier au point de baisser le pantalon pour remédier à une affaire de justice anodine qui aurait du rester dans le giron des tribunaux. L’affaire en question, qui est devenu un fait d’Etat uniquement à cause de l’implication de l’un des fils de Kadhafi, avait toute les chances de se dénouer sans causer des vagues. Mais c’était sans compter sur la volonté de certains cercles de politiser l’affaire. Le résultat, on le sait bien. Au lieu de se concentrer sur la légitimité de la position de la justice helvétique, c’est un bras de fer contre Kadhafi que la Suisse a préféré s’offrir. Résultat : Berne a du se résigner à présenter des excuses officielles.
Cette fois-ci avec l’affaire des minarets, la Suisse n’aura pas à faire uniquement à un bouffon farfelu de la trempe de Kadhafi. Les suisses, consciemment ou non, ont opté pour se mettre sur le dos deux forces aussi redoutables l’une que l’autre : des populations musulmanes, excessivement stigmatisées et excédées, et des magnats et des mandataires de fonds souverains qui, pour enseigner aux populistes suisses qu’il existe plus populistes qu’eux, vont se faire concurrence pour savoir qui infligera l’humiliation la plus avilissante à ces écervelés d’helvètes.
Le tragique dans tout cela c’est que ceux qui vont payer les pots cassés ça sera les membres de la communauté musulmane en terre suisse qui, paradoxalement, se croyait en terre neutre.
Publié par Takkou à 14:13
Il semblerait que le fait que je ne blog plus, et que par conséquent mon nom (pseudo) n’apparait plus sur Tn-blogs, ait réjouit certaines têtes de turc. L’un deux s’est même donné le mal de me le faire savoir en me laissant un petit commentaire pour me signifier à quelle point il se sent soulagé de ne plus voir mon blog en activité. Eh bien, pour toute réponse, j’avoue que je ne savais pas que me écrits pouvaient déranger à ce point. Je croyais que je bloggais pour mon propre plaisir et pour celui avec qui je partage certaines idées farfelues.
J’aurais aimé savoir avant et non maintenant que mon blog avait beaucoup plus de visiteurs que je ne le soupçonnais. Cela m’aurait donné plus de punch pour écrire avec beaucoup plus d’assiduité et d’énergie. Mais, voila il se trouve que les choses tournent dans le sens inverse de mes envies. Maintenant que blogger est devenu pour moi un plaisir amer à cause des fausses chamaillades, des sanctions plus au moins graves qui ont démoralisé les bloggeurs, des gros cons qui insistent à laisser un commentaire pour rendre encore plus désolante leur imbécilité… voila que certains essayent de me faire sortir de ma torpeur volontaire. Sottement, ils croient qu’ils m’ont règle mon compte, alors que je ne me souviens pas avoir eu maille à partir avec l’un des fouteurs de merde attitrés de Tn-Blogs.
Je n’ai pas un gout prononcé pour les polémiques, et encore moins lorsque ces dernières sont stériles. Je ne suis pas un fervent partisan des polémistes non plus. Il m’est arrivé à en découdre avec certains auteurs de commentaires que je trouvais fort déplaisants. Mais il ne me semble pas que la tension ait allée plus loin que le simple malentendu.
Alors ? Alors je suis à la fois sidéré et intrigué par cette provocation dont je ne connais ni l’auteur ni la teneur, bien que je soupçonne que la raison principale soit qu’on m’ait catalogué comme appartenant à un groupe dont les convictions et les crédos sont diamétralement opposés à ceux qui croient avoir assis leur mainmise sur Tn-blogs. A ces morveux, je voudrais leur dire qu’ils se trompent énormément. Comme toujours.
J’aurais aimé savoir avant et non maintenant que mon blog avait beaucoup plus de visiteurs que je ne le soupçonnais. Cela m’aurait donné plus de punch pour écrire avec beaucoup plus d’assiduité et d’énergie. Mais, voila il se trouve que les choses tournent dans le sens inverse de mes envies. Maintenant que blogger est devenu pour moi un plaisir amer à cause des fausses chamaillades, des sanctions plus au moins graves qui ont démoralisé les bloggeurs, des gros cons qui insistent à laisser un commentaire pour rendre encore plus désolante leur imbécilité… voila que certains essayent de me faire sortir de ma torpeur volontaire. Sottement, ils croient qu’ils m’ont règle mon compte, alors que je ne me souviens pas avoir eu maille à partir avec l’un des fouteurs de merde attitrés de Tn-Blogs.
Je n’ai pas un gout prononcé pour les polémiques, et encore moins lorsque ces dernières sont stériles. Je ne suis pas un fervent partisan des polémistes non plus. Il m’est arrivé à en découdre avec certains auteurs de commentaires que je trouvais fort déplaisants. Mais il ne me semble pas que la tension ait allée plus loin que le simple malentendu.
Alors ? Alors je suis à la fois sidéré et intrigué par cette provocation dont je ne connais ni l’auteur ni la teneur, bien que je soupçonne que la raison principale soit qu’on m’ait catalogué comme appartenant à un groupe dont les convictions et les crédos sont diamétralement opposés à ceux qui croient avoir assis leur mainmise sur Tn-blogs. A ces morveux, je voudrais leur dire qu’ils se trompent énormément. Comme toujours.
Publié par Takkou à 15:40
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