Yes he could





Bush on a rêvé, Obama l’a fait. La secrétaire d’état américaine a changé de nom et de peau. Condee est devenu Hilary et franchement entre nous la différence entre un affreux-américain et un WASP et tellement si infime qu’on ne se rendra pas compte qu’il y a eu un changement dans la politique extérieure américaine. Condee ou Hilary ? Qu’importe la peau ou le nom du moment ou l’une comme l’autre mènent le même combat et logent à la même enseigne. Du coup c’est la diplomatie du pays de l’oncle Sam qui retrouve sa couleur d’origine et qui perpétue surtout un principe constant : cynisme, indifférence, insolence et une hypocrisie proverbiale.

Contemplant attentivement la chose on ne peut s’empêcher de se poser la question suivante : quel intérêt y a-t-il à s’entêter et à lutter pour féminiser la politique puisque les hommes sont capables de faire le sale boulot parfaitement ? Qu’est ce qu’elle chantait déjà elle "Dora l’exploratrice" ? Ah « Yes we di dit ». Eh bien c’est fait. Allez, un autre pour la route et à la santé des vivants morts.


2 commentaires:

MAD DJERBA a dit…

Pour parodier je ne sais plus qui : "les femmes sont des hommes comme les autres." Il ne s'agit pas de la féminisation de la politique, mais de la politique tout court.
Le changement dans la continuité, rien de nouveau hélas sous le soleil !

Anonyme a dit…

Le malaise est général! il est mondial, mais tous ne le ressentent pas de la même manière.
Bon dimanche
Viviane